Album de la semaine (10/10)

Ça y est, les gars sont arrivés au Kirghizistan. Ils passent du chaud au froid, de l’Europe à l’Asie, du Vespa au 4×4, de la dolce vita à l’aventure. Dorénavant, le quotidien de leur voyage au Kirghizistan se composera de panoramas infinis et de routes inconnues. Quand on aime ce genre de choses, ce pays c’est vraiment le paradis !

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Les belles routes kirghizes

Voilà le genre de routes que les 4 globetrotters vont rider à partir de maintenant. Autant vous dire, un sentiment d’aventure les anime. Fini le confort, fini les habitudes, place à la découverte d’un monde dont ils n’ont encore aucune idée. C’est grisant cette sensation quand même, de quoi faire des jaloux !

 

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2 octobre 2016 – Lac d’Issyk Kul

Nos 4 planet riders découvrent avec ce pays et ses habitants des coutumes uniques qu’ils ne retrouveront nulle part ailleurs sur le globe. Comme cet après-midi au bord du Lac d’Issyk Kul où ils ont fait une rencontre surprenante et touchante en la personne d’Abdul Alal à l’intérieur sa roulotte kirghize. Il leur a montré les traditions locales et l’histoire d’un peuple qu’on ne connait que trop peu…

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4 octobre 2016 – Plaine des nomades

Décidemment, le Kirghizistan cache bien ses trésors. A se demander pourquoi cette destination n’est pas plus prisée… On y voit des décors à couper le souffle, des plaines à perte de vue et une culture si riche et intéressante. Les 4 planet riders sont tous bluffés par ce qu’ils découvrent chaque jour lors de leur raid 4×4 au Kirghizistan.

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5 octobre 2016 – 7 taureaux

Sur la route, nos 4 intrépides ont fait un stop de bon matin dans la vallée des 7 taureaux. Au menu, un panorama incroyable, une atmosphère indescriptible et une expérience inoubliable. Le temps a travaillé plusieurs milliers d’années pour constituer cette roche aux couleurs uniques et à la forme si particulière. Les gars sont tous restés bouche-bée.

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6 octobre 2016 – Au milieu de nulle part

A 3000m d’altitude, dans un pays où il fait 3°C en octobre, et devant un paysage face auquel on pourrait rester des heures, nos gars ont bien besoin d’un petit Cognac Dumay pour se réchauffer. C’est aussi ça le plaisir d’un globetrotter, combiner les plaisirs d’une culture avec les paysages d’une autre.

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